Puis-je croire en un monde meilleur ?
Je passe mon temps à dire aux autres que la vie étant impermanente, que ça ne peut pas toujours mal aller. C'est en méditation zen que j'ai conscientiser que la vie ressemblait à un balancier ... parfois ça penche vers la gauche, parfois vers la droite, avec plus ou moins d'insistance, d'élan, de force. Le but étant de se rapprocher du milieu.
Ce n'est pas un hasard anodin dans ma vie, d'avoir tant voulu me rapprocher des étoiles, de mon essence, du silence, du recueillement, du bouddhisme et de la clarté. J'ai tant voulu respirer librement !
J'aspire à mieux, à une vie avec les épaules légères, le coeur gai, l'âme en paix. Aux sourires, aux vrais.
Personne ne sait à quel point la souffrance fait partie de ma vie. Depuis trop longtemps.
La souffrance, la solitude. Et pourtant, ainsi va la vie..., personne ne saura jamais. Je n'ai aucune volonté à vouloir m'exprimer autrement.
Il existe des livres ouverts, mais il existe des livres et recueils fermés à double tours. J'en suis.
On m'imagine autrement, je sais. Une force m'anime à marcher vers la lumière et vers autrui.
C'est curieux comme ce matin, j'avais envie de l'écrire. Un souffle. Voilà.