Des minis nouvelles de Michelle... avec ses deux ailes au vent !
C'est vrai, je n'ai pas écris de la semaine. Je savoure mes journées de congés comme d'un trésor qu'il faut protéger, astiquer, envelopper précieusement. Je n’ai pas une minute à perdre.
Aujourd’hui, j’ai fait le ménage dans mes vêtements : Six sacs au total de fringues à donner. Du trop petit au trop usé, et je n’ai pas terminé. Il me reste une partie de mon garde-robe à faire. Croyez-le ou non, je possède encore des vêtements accrochés sur des cintres et protégés par des sacs de vidange, que je garde depuis mon déménagement d’il y a trois ans, déjà. Des «au cas où» à n’en plus finir (au cas où je perdrais quelques livres, au cas où ça reviendrait à la mode, au cas où Émeraude pourrait le porter une fois plus grande… Que du niaisage.
J’ai donc pris la résolution de tout me départir pour faire de l’aération et pour m’alléger l’existence. C’est un peu entre les deux oreilles mais à force de garder, de ramasser, de « storer », on en vient à être ensevelie sous le poids des années passées, le poids des souvenirs, un trop gros poids inutile par surcroit sur nos épaules.